Voilà deux semaines que j’essaie d’écrire cet article et rien ne vient. J’ai lu un article de lui vers 1988, et j’ai perdu la tête presque aussitôt Je l’ai rencontré une fois, à Paris en 2005, et ce fut bouleversant. J’ai lu tous ses livres traduits depuis : j’aime ce que j’y trouve de légèreté et de profondeur, d’humour et d’amour. Je voudrais écrire sur lui, mais il ne me vient que « merci » :
Merci d’avoir partagé la simplicité de ce trésor ! Merci Douglas Harding !